/Se fait poursuivre\

Il y avait dans l'air cette sorte d'odeur acre, celle qui vous brûle les narines. Une impression farouche de mal-être, peut-être même de Mutants. Les gens en parlaient souvent, et Jude se contentée de les écoutés avec un mépris proche du dégoût et des pensés maladroite. Tant de personne jugé ce qu'ils étaient alors qu'ils n'étaient que des humains, et la seule chose qui les différenciers des autres, c'était qu'ils avaient des dons que les humains ne pouvaient pas comprendre et donc, par jalousie ou par crainte certainement, ne pouvaient pas apprécier. Les insultes affluaient donc, et alors que Jude était en train de marcher tranquillement dans la rue, les flics se mirent à la suivre, reconnaissant sans doute son visage car, oui, Jude et Kaileen, sa soeur tant aimée, étaient toutes deux recherchée. Alors, Jude commença à courir, alla dans une petite ruelle et se dédoubla, envoya ses doubles à d'autres endroits pour semé les "autorités" et parvint à prendre assez de distance pour atteindre la rame de métro et monté à l'intérieur avant que les flics ne l'attrapent. Alors, elle sentit une douleur indéscriptible dans le coeur et se courba aussitôt sur elle-même et lorsqu'elle fut pliée en deux devant tout le monde elle ferma les yeux et, ses bras croisés sur sa poitrine elle poussa un petit cri, les gens se retournant sur elle et la regardant avec des yeux ronds et incertain, certaines personnes demandairent si sa aller, mais Jude leurs disaient que oui, tout aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. Alors ils se retournaient et elle pouvait continué à souffrir, avachie sur le sol, trnaspirante. Une de ses doubles venaient de mourir et c'était tout naturellement qu'elle avait ressentit sa douleur. Mlaheureusement, on avait du lui tiré dans le coeur puisque c'était là que Jude avait mal. Qu'elle horrible sensation. Non, Jude en elle-même allait très bien, mais la souffrance n'était pas comparable avec celle qu'avait du enduré la fausse Jude qui, à présent devait être morte. Ainsi, Jude regarder le sol sale, avachie dessus comme une poupée abandonnée, la bouche entrouverte et le regard souffrant.